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Le Lac est un lieu indépendant. C'est une expérience sur le travail et l'habitat, menée par une équipe de colocateurices qui organisent sur leur lieu de vie, un établissement culturel.
Le Lac existe avec le seul soutien financier de son public et de son bar et tente l'équilibre budgétaire et le droit culturel.
Aussi douteuse soit-elle, il s'agit bien de s'engager quelquepart dans la grande aventure de la société et du collectif, et ici sans doute plus particulièrement, dans celle de la ville.

Pour toutes questions vous pouvez prendre rendez-vous par mail en écrivant ici : lemaildulac@gmail.com

Sinon la programmation est

 

 

 

 

 

 

et sinon

Je crois que

La rationalité mène au minimum.

Le Lac est une idée échappée de l’enclos.
On dit qu’en période de sécheresse les carnivores et les herbivores ne s’attaquent pas autour des lacs.
Celui-ci nous l’avons ouvert au public le 31 décembre 2017.
Et personne ne s’y est encore mangé.
L’équipe n’a jamais cessée de changer.

Une cinquantaine de personne en on fait partie.
Et c’est grâce à eux et à son public que le Lac est indépendant, résiliant.
Qu’il rapporte autant qu’il coûte et qu'il ne coûte pas grand chose.
Le Lac ne programme pas les artistes.
Ne joue pas au jeu de décider qui peut jouer et qui ne peut pas.
Le Lac est un rêve de paysan qui tente de prendre soin de son paysage.
Un paysage de ville défoncé au capital.


La culture,

c’est à dire la nature humaine,
n’est pas à l’image de nos écosystèmes,
qui se feront sans nous.
Nous sommes en danger,
à cause de nos comportements politiques, institutionels ou non,

Dans notre rapport intime au collectif,

 là où se joue le jeu du réel.


Et la culture s'en métamorphose.
Mais l’occupation temporaire nourrie le capital.
Et la location classique nourrie le capital.

Et le squat est une guerre difficile.

Détenir des outils de production indépendants reste l'objectif.
Il n’y a pas de solution concrète qui soit idéale pour ouvrir une brèche.
Nous cherchons.

Nous voulons rompre avec les modèles d’entreprises existants,
à cause de la férocité de leur idéologie du travail,
de la dissimulation de l’esclavage en cours.
 

Un lac ne travail pas.
Il les empêche juste de se battre.
Alors nous accueillons tous le monde.
Pour essayer de diffuser l’ailleurs plus loin que chez soi même.

 

Il n’y a pas de ligne.
On se débrouille.
On essaye.
De pas finir en saucisses.

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